Organisations internationales

Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)
Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)

L’UNESCO en bref

Le site officiel de l’UNESCO: http://www.unesco.org/new/en/member-states/

La section du site officiel de l'UNESCO relative à l’Arménie: http://en.unesco.org/countries/armenia

L'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (ci-après l'UNESCO) est l'une des 15 agences spécialisées des Nations Unies.

Le 16 novembre 1945 à Londres, les représentants des 37 États fondateurs ont adopté un Acte constitutif (Convention) créant l’UNESCO qui est entré en vigueur le 4 novembre 1946 après avoir été ratifiée par 20 Etats.

La mission principale de l’UNESCO est de contribuer à la consolidation de la paix et de la sécurité à travers la coopération entre les pays dans les domaines de l’éducation, de la science et de la culture. La portée des activités de l’Organisation s’est considérablement élargie au fil des ans, incluant le sport, l’information et la communication, la liberté d'expression, la lutte contre la discrimination dans le domaine éducatif, la biosphère. Ces derniers temps, des travaux sont également menés en direction de l’éthique de l’intelligence artificielle, en particulier de l’élaboration de règles. Les programmes de l'UNESCO contribuent à la réalisation des objectifs de développement durable.

Aujourd’hui, l’Organisation compte 193 membres et 12 membres associés.

L’Arménie a adhéré à l’UNESCO le 9 juin 1992.

Délégation permanente d'Arménie auprès de l'UNESCO

Délégation permanente d'Arménie auprès de l’UNESCO se trouve à Paris.

Le 17 janvier 2019, S.E.M. Christian Michel Ter-Stépanian est nommé Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire, délégué permanent de l'Arménie auprès de l’UNESCO.

Trois organes constitutionnels de l'UNESCO

La Conférence générale est le principal organe directeur de l’UNESCO. Elle se réunit tous les deux ans et détermine l’orientation et la ligne de conduite globale de l’Organisation, adopte le programme pour une certaine période, son budget et sa stratégie à moyen terme. Tous les quatre ans, elle élit le Directeur général de l’Organisation sur proposition du Conseil exécutif. La Conférence générale élit également les membres du Conseil exécutif. Chaque membre dispose d’une voix. La Conférence générale se réunit tous les deux ans, avec la participation des États membres et des Membres associés. La 42e session de la Conférence générale aura lieu en novembre 2023.

Les langues de travail de la Conférence générale sont langlais, larabe, le chinois, lespagnol, le français et le russe.

Discours d’Ararat Mirzoyan, ministre des Affaires étrangères de l’Arménie, au cours de la 41e session de la Conférence générale de l’UNESCO, 2021.

Discours d’Arayik Harutyunian, ministre de l’Education, des Sciences, de la Culture et des Sports de l’Arménie, au cours de la 40e Session de la Conférence générale de l’UNESCO, 2019.

Le Conseil exécutif est le deuxième organes constitutionnels de l’UNESCO.

Le Conseil exécutif se réunit deux fois par an pour veiller à la bonne exécution du Programme et budget adopté par la Conférence générale, mettre en œuvre efficace et efficiente des décisions des États membres par le Directeur général et prépare le travail de la Conférence générale.

Il est composé de 58 États membres élus chacun pour un mandat de quatre ans.

Pour la première fois depuis son adhésion à l’UNESCO en 1992, l’Arménie a été élue membre du Conseil exécutif en 2021. Des candidats de quatre pays (l’Arménie, la Lituanie, l’Ukraine et l’Azerbaïdjan) ont été présentés pour les trois sièges vacants attribués au Groupe régional d'Europe de l'Est lors des élections du Conseil exécutif. À l’issue d'un vote secret fermé, l'Arménie, ayant reçu le maximum de 146 voix dans le Groupe régional, a été élue au Conseil exécutif en premier lieu. Avec l'Arménie, l'Azerbaïdjan et la Lituanie ont également été élu dans le Groupe avec 143 et 126 voix respectivement.

Dans le cadre de son adhésion au Conseil exécutif, ainsi que ses engagements et priorités, l’Arménie s'efforce de soutenir la mise en œuvre des programmes de l'UNESCO, d'assurer l'accès à une éducation de qualité pour tous, de protéger et préserver le patrimoine culturel.

Le Secrétariat est l’organe exécutif de l’UNESCO. Supervisé par le Directeur général, le Secrétariat se compose du personnel nommé par lui.

En 2017, la Conférence générale de l’UNESCO a élu Mme Audrey Azoulay comme Directrice générale de l’Organisation. En 2021, elle a été réélue pour un deuxième mandat. 

Coopération entre l’Arménie et l’UNESCO

L’UNESCO est la seule agence des Nations Unies à disposer d’un réseau mondial d’organismes nationaux de coopération connus sous le nom de Commissions nationales pour l’UNESCO. Ils a une structure différente et relève de différents institutions en fonction des questions traitées.

La coopération avec l’UNESCO est coordonnée par la Commission nationale arménienne pour l’UNESCO (ci-après dénommée Commission), qui a été créée le 10 octobre 1992. Le Décret № 58-A du Premier ministre arménien du 29 janvier 2015 a déterminé la réglementation et les membres de la Commission.

L’Article 1 du Décret stipule que la Commission est "un organe consultatif interinstitutionnel dont le but principal est de coordonner et d’assurer la coopération des instances gouvernementales, des institutions et des organisations non gouvernementales de la République d’Arménie avec l’Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture dans les domaines de l’éducation, de la science, de la culture, de la communication et de l’information".

La Commission renforce les relations entre l’UNESCO et les organisations et milieux éducatifs, scientifiques et culturels de l’Arménie, en assurant la participation de l’Arménie aux programmes et activités de l’UNESCO et en présenter au besoin la position de l’Arménie sur les questions relevant de la juridiction de l’UNESCO.

Outre le ministre des Affaires étrangères, la Commission comprend également les ministres de l’Éducation, des Sciences, de la Culture et des Sports; de l’Économie; de l’Environnement; de la Justice et le chef de cabinet du Premier-ministre.

Par consentement mutuel, le chef de cabinet du Président, le président de l’Académie nationale des sciences, le maire d’Erevan, le directeur des musées et des archives du siège-mère de Saint-Etchmiadzine, le directeur du Matenadaran sont également inclus dans la Commission.

Le ministre des Affaires étrangères de l’Arménie est le président de la Commission, et le chef du Département de la politique multilatérale et de la coopération au développement est le Secrétaire Général. Le Secrétariat de la Commission appartient  au Ministère des Affaires étrangères en tant que division de l’UNESCO dans le Département susmentionné.

Les tâches et fonctions principales de la Commission sont décrites dans les articles 3 et 4 du Décret.

Selon l’article 5 du Décret, l’attribution du symbole de l’UNESCO (logo) relève de la compétence exclusive de la Commission.

Visites mutuelles de haut niveau

Les 11 et 12 octobre 2018, Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO, s’est rendue en Arménie dans le cadre du 17e Sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie.

Le 17 janvier 2019, Zohrab Mnatsakanian, ministre arménien des Affaires étrangères et président de la Commission nationale arménienne pour l’UNESCO, a rencontré Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO, au siège de l’Organisation à Paris.

Le 8 décembre 2020, Ara Ayvazian, ministre arménien des Affaires étrangères, a rencontré Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO, à Paris.

Le 11 novembre 2021, Ararat Mirzoyan, ministre arménien des Affaires étrangères, a rencontré Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO, à Paris.

Le 16 mars 2022, Ararat Mirzoyan, ministre arménien des Affaires étrangères, a rencontré Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO, à Paris. Soulignant l’importance de l’élargissement de la coopération avec l’UNESCO dans les domaines de l’éducation, de la science et de la communication, le ministre Mirzoyan a également noté qu’en tant que membre du Conseil exécutif de l’UNESCO, l’Arménie reste attachée à la promotion de la paix mondiale, au développement et au multilatéralisme efficace, qui sont les piliers de l’Organisation.

Participation de lArménie aux instances de lUNESCO

L’Arménie a ratifié 21 documents juridiques de l’UNESCO (15 conventions, 5 protocoles, 1 accord):

  • 6 conventions, 3 protocoles annexés et 1 accord dans le domaine de la culture,
  • 5 conventions et 1 protocole dans le domaine de l’éducation,
  • 2 conventions dans le domaine de la communication et de l’information,
  • 1 convention et 1 protocole annexé dans le domaine des sciences naturelles,
  • 1 convention dans le domaine des sciences sociales et humaines.

L’Arménie verse régulièrement ses contributions à l’UNESCO. Pour  l’année 2023, l’Arménie a versé 24 054 $.

L’Arménie appartient au 2e groupe régional (États d'Europe orientale) et se voit membre du groupe francophones de l’UNESCO.

L’Arménie coopère activement avec les Instituts et Centres de catégorie 2 placés sous l’égide de l’UNESCO et se voit membre de ceux qui suivent:

  • Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Europe du Sud-Est, Sofia;
  • Centre régional de recherche pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Asie de l’Ouest et en Asie centrale, Tehran;
  • Centre régional de gestion des eaux urbaine, Tehran;
  • Centre international de recherche sur l'intelligence artificielle, Ljubljana;
  • Centre international de compétences pour l’enseignement du génie minier, Saint-Pétersbourg.

Les Comités intergouvernementales fonctionnent en conjonction avec les Conventions.

Candidatures incluses dans les listes établies par les Conventions de l'UNESCO

Les sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO appartiennent à tous les peuples du monde, quel que soit le territoire sur lequel ils se trouvent. Cette liste comprend les mémoriaux et les monuments commémoratifs de la plus grande valeur pour l’humanité. Chaque État ne peut postuler que pour la valeur culturelle/le site qui se trouve à l'intérieur de ses frontières.

L’Arménie est représentée dans la Liste avec les candidatures suivantes :

En 2018, le "Monastère de Gherart et la Haute vallée de l’Azat" a obtenu le statut de «protection renforcée», et c’est le premier monument en Arménie auquel ce statut a été accordé. La protection renforcée est un mécanisme établi par le deuxième protocole de 1999 à la Convention de La Haye de 1954 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé ( « Convention de La Haye de 1954 » ), visant à assurer une protection complète et efficace des biens culturels spécifiquement désignés, que ce soit en période de conflits armés. Ce mécanisme exige que les parties au conflit s’abstiennent d’attaquer un tel monument, ainsi que de l’exploiter  à des fins militaires, y compris ses territoires voisins. Le protocole prévoit également des sanctions pénales pour la violation par des individus de la protection renforcée des biens culturels.

Les candidatures suivantes sont dans la liste indicative:

Les Ensembles monastiques arméniens de l’Iran, au nord-ouest du pays, comprennent trois ensembles monastiques historiques de la foi chrétienne arménienne: St-Thaddeus, St-Stepanos et la chapelle Ste-Marie de Dzordzor. Ils ont été inscrits sur la Liste du patrimoine mondial sur la base de l’appel à candidature présentée par la République islamique d’Iran comme "Ensembles monastiques arméniens de l'Iran".

Le «site archéologique d’Ani», la capitale du royaume médiéval arménien des Bagratides qui a connu son apogée aux Xe et XIe siècles de notre ère et qui est situé aujourd’hui au nord-est de la Turquie, a été inscrit sur la Liste en 2016.

La "Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel» (2003) de l’UNESCO détermine plusieurs Listes du patrimoine immatériel. La Convention définit le patrimoine culturel immatériel comme «les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire – ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés – que les communautés, les groupes et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel». La décision d’une entité d’inscrire une candidature n’implique pas la propriété.

Dans la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO, l’Arménie est représentée par les candidatures suivantes:

Programmes de l'UNESCO

De nombreux programmes sont mis en œuvre dans le cadre de l’UNESCO. Ils sont financés à la fois par le budget régulier et les ressources extrabudgétaires.

Le programme «Mémoire du monde» de l’UNESCO reflète la diversité des langues, des cultures et des peuples. Son objectif est de prévenir la perte de collections précieuses d'archives et de bibliothèques dans le monde entier, ainsi que de contribuer à leur large diffusion.

Les éléments du patrimoine documentaire suivants ont trouvé leur place dans le Registre international de la Mémoire du monde de l’UNESCO:

Le réseau des écoles associées de l’UNESCO a été fondé en 1953. Le réSEAU rassemble 12000 écoles dans 182 pays. Il fonctionne en Arménie depuis mars 1997. Actuellement, il comprend 10 écoles arméniennes. Ces dernières diffèrent d’autres écoles en ce qu’elles coopèrent avec l’UNESCO dans le cadre des programmes nationaux, en soutenant la propagation des valeurs de l’Organisation ainsi que la réalisation de ses objectifs et ses enjeux.

Lancé en 1992, le Programme UNITWIN/Chaires UNESCO, qui rassemble plus de 850 établissements de 120 pays, encourage la coopération et la création de réseaux entre les universités au niveau international pour renforcer les capacités institutionnelles par le partage de connaissances et la collaboration. Actuellement, le réseau international UNESCO/UNITWIN de recherche et d’enseignement post-universitaire dans le domaine de la biophysique, de la biotechnologie et de la sécurité environnementale fonctionne en Arménie, ainsi que les Chaires UNESCO suivantes:

  • Chaire UNESCO en sciences de la vie (UNESCO Chair in Life Sciences)
  • Chaire UNESCO de Développement durable et éducation environnementale
  • Chaire UNESCO des droits de la personne humaine et de la démocratie
  • Chaire UNESCO sur l’éducation et la prévention de génocides et d’autres atrocités (UNESCO Chair on Education and Prevention of Genocide and Other Atrocity Crimes)

La liste des anniversaires d'événements historiques et de personnalités éminentes

Depuis 1998, la liste a été élargie par 27 anniversaires, présentés par l’Arménie. Pour l'exercice biennal 2022-2023, ce sont les anniversaires suivants:

  • le 850e anniversaire de la mort de Nersès le Gracieux (Nerses Shnorhali);
  • le 100e anniversaire de la création du centre National du cinéma d’Arménie

La question de la destruction totale du cimetière médiéval arménien de la Vieille ville de Djoulfa au Nakhichevan

En décembre 2005, les forces armées azerbaïdjanaises ont complètement détruit des dizaines de milliers de khatchkars sculptés à la main de pierres uniques (les pierres à croix) et de pierres tombales du cimetière médiéval arménien de la Vieille ville de Djoulfa, complétant ainsi la politique d’État, qui était menée les deux dernières décennies, visant à la destruction totale du patrimoine culturel chrétien arménien du Nakhichevan et de tout le territoire de l’Azerbaïdjan,.

Au cours de cette acte de vandalisme, les pierres à croix et les pierres tombales médiévales du cimetière de Djoulfa ont été écrasées et jetées dans la rivière Araks. Un champ de tir a été construit sur le site du cimetière.

Malgré les nombreux témoignages et preuves photographiques et vidéo irréfutables, aucune organisation internationale, y compris l’UNESCO, n’a donné une évaluation adéquate de ces actes de vandalisme organisés et réalisés par l’Azerbaïdjan au niveau de l’Etat.

En 1998, le ministère des Affaires étrangères d’Arménie a fait appel aux organisations internationales chargées de la préservation de la culture et du patrimoine culturel, les alertant sur la destruction des pierres tombales et des pierres à croix de Djoulfa. En particulier, un nombre des lettres ont été envoyées au Directeur général de l’UNESCO en 1998, 2002 et 2005, présentant la situation et appelant à prendre des mesures pour mettre fin au génocide culturel contre les monuments arméniens de Nakhichevan. En 2005 la partie arménienne a également pris l’initiative, visant à organiser une mission d’enquête qui, selon les explications de l’UNESCO, n’a pas eu lieu en raison des conditions de sécurité.

Au cours de la 16ème Assemblée générale et colloque scientifique international de l'ICOMOS (Conseil international des monuments et des sites), tenue à Québec du 29 septembre au 4 octobre, l’Assemblée générale, organe consultatif de l’UNESCO, a adopté une résolution, dont la disposition 5:

  • attire l’attention des autorités azerbaïdjanaises, en tant qu’État membre de la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel, sur la destruction d du cimetière médiéval arménien de la Vieille ville de Djoulfa et leur fait part des préoccupations de la communauté internationale d’experts sur la préservation des valeurs culturelles,
  • demande aux autorités azerbaïdjanaises de faciliter l’accès à une délégation d’experts de l’UNESCO et/ou de l’ICOMOS afin d’enquêter sur le site et d’informer la communauté internationale des résultats.

Des déclarations sur la question des pierres à croix de Djoulfa ont été faites dans diverses plateformes internationales et lors des réunions.

La question de la mission dexpertise de lUNESCO qui a pour but de protéger le patrimoine culturel d’Artsakh

Depuis la guerre de 44 jours et la Déclaration trilatérale du 9 novembre 2020, l’Arménie a constamment soulevé la question du déploiement d’une mission d’expertise de l’UNESCO à Artsakh et dans les régions adjacentes afin de protéger le patrimoine culturel d’Artsakh. L’Arménie a toujours soutenu l’initiative de la Directrice générale de l’UNESCO d’envoyer une mission d’expertise et s’est prononcée en faveur de l’effectuer dès que possible.

La partie arménienne a consenti à toutes les conditions du Secrétariat de l’UNESCO, à savoir que la mission soit accomplie:

  • conformément à la Convention de 1954 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé;
  • les experts peuvent avoir un accès sans entrave aux biens culturels dans ces domaines’
  • un nombre égal de monuments arméniens et azerbaïdjanais seraient visités pendant la mission.

L’Arménie ne rejette pas la possibilité pour les experts de visiter les monuments proposés par l’Azerbaïdjan pendant la mission. L’Azerbaïdjan, cependant, empêche la visite des experts aux monuments arméniens sous son contrôle, afin d’entraver l’enregistrement des faits de la présence historique arménienne dans ces territoires, ainsi que les atrocités et l’appropriation par l’Azerbaïdjan des valeurs culturelles arméniennes pendant cette période.

L’Azerbaïdjan est responsable de ne pas avoir déployé la mission d’expertise de l’UNESCO.

 

Mise à jour le 06.03.2023

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